Après avoir admiré à bord d’un bateau de la compagnie SNCM les côtes de la Corse, dont les contours se profilent petit à petit, la féérie éprouvée se permute en un impérieux désir de faire la découverte des plages de sable blanc et des criques isolées. L’envie se fait de plus en plus pressante de fouler les ports aux accès inoubliables comme celui de Bonifacio, Ajaccio, Calvi ou Bastia.
Les côtes corses donnent la garantie de trouver des paysages sans l’urbanisme inconvenant comme celui qui existe, par exemple, aux Baléares. Dans l’Île-de-Beauté où le mot « patrimoine » n’est pas un mot vide de sens, il existe un organisme qui s’occupe de la protection de pas moins de 12 grandes zones : le Conservatoire du littoral. Cheminer sur le sentier des douaniers de la pointe du Cap Corse donne la possibilité de jouir de magnifiques paysages. On ne se lasse pas d’admirer le spectacle magnifique de différentes espèces d’oiseaux migrateurs. Les oiseaux sont aussi caractéristiques de l’étang se trouvant à Biguglia.
A l’opposé, dans l’extrême partie Sud de l’île, la côte corse est l’exclusivité des baigneurs, avec ses plages dignes d’une carte postale, où le mot « corse » rime très bien avec le mot « tourisme ». Deux merveilleux sites sont à découvrir à Porto-Vecchio, une cité de bord de mer très animée pendant l’été : Palombaggia et Tamaricciu. Pour ceux qui apprécient les endroits calmes, on peut trouver des plages de sables fins de qualité exceptionnelle sur le versant ouest de l’Île-de-Beauté.
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